Trail
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Nous nous retrouvons en fin d’après-midi à notre hôtel, au cœur de la vallée de la Haute Romanche. Chacun arrive avec son équipement, prêt à se plonger dans cette aventure.
Autour d’un verre, nous faisons connaissance et passons en revue le programme de la semaine. Un bon dîner nous attend ensuite, l’occasion d’échanger sur nos attentes et nos objectifs pour les jours à venir. La nuit sera réparatrice avant d’attaquer le terrain dès demain matin.
Après le petit déjeuner, nous préparons notre matériel avant d’attaquer l’ascension du Grand Aréa, parfait pour nos premières foulées en altitude. La montée commence en douceur avec une série de lacets qui nous mènent à l’arête sud, puis au sommet à 2869 m. Par beau temps, le panorama s’ouvre sur tout l’arc alpin : Écrins, Vanoise, Mont Blanc et montagnes italiennes. Nous profitons d’une pause pour aborder les bases techniques : gestion de l’effort en montée, posture et fluidité en descente.
Après un pique-nique sur le belvédère, nous amorçons la descente en appliquant les conseils abordés. De retour à l’hôtel, nous échangeons en terrasse sur le trail en montagne avant un dîner bien mérité.
Nous nous retrouvons à 8h30 pour un échauffement avant de nous engager sur le Chemin du Roy. L’itinéraire débute par une montée progressive à travers une pinède, puis un sentier en balcon dominant la vallée de la Guisane.
Le parcours offre des panoramas sur les Agneaux, les Dômes du Monêtier et la Barre des Écrins (4102 m), tandis que les falaises calcaires des Cerces contrastent avec le relief glaciaire.
L’alternance entre montées et descentes permet de travailler la gestion de l’effort et l’adaptation au terrain. La dernière portion, plus technique, met l’accent sur la stabilité des appuis et la fluidité en descente.
Après une pause pique-nique, retour à l’hôtel pour une session sur l’alimentation en course et les premiers secours en montagne.
Départ matinal pour une montée sèche vers le Refuge Chancel (2508 m). L’ascension longe le Torrent du Tabuchet, traverse la passerelle de la Cascade de la Meije, puis enchaîne lacets jusqu’au Lac de Puy Vachier. Un dernier effort nous mène au refuge et au Belvédère sur la Romanche, offrant une vue panoramique sur toute la vallée où nous prenons une pause pour profiter du panorama avant d’attaquer la descente.
Deux options s’offrent à nous : une montée par la brèche pacave suivi d'une descente technique dans les pierriers et les névés des vallons de la Meije ou une version plus douce selon le niveau du groupe.
Retour en fin d’après-midi pour un atelier sur la planification d’un programme d’entraînement spécifique au trail en montagne. La soirée se déroule dans une ambiance détendue, les jambes fatiguées mais l’esprit encore bien éveillé.
Aujourd’hui, nous nous lançons sur un parcours alternant sections de trail et rando rapide. L’utilisation des bâtons devient essentielle pour franchir les passages techniques. Nous évoluons sur des névés et traversons quelques zones aériennes, où la concentration est de mise.
Nous profitons d’un pique-nique en altitude avant d’aborder une initiation aux notions de secourisme en montagne : comment alerter les secours et organiser une évacuation en cas d’urgence.
Retour à l’hôtel pour une soirée plus calme et un bon repas revigorant.
Nous débutons la journée par une course qui démarre à travers les prés alpins, avant de rejoindre le lac du Pontet. De là, nous montons jusqu’au col de l’Aiguillon (2059 m) où admirer les villages de la Maurienne, notamment les Hières, Ventelon et Valfroide, nichés dans le paysage montagnard.
Nous empruntons ensuite la crête qui nous mène au sommet de l’Aiguillon (2096 m). L’itinéraire alterne marche active et sections de trail. Nos efforts sont largement récompensés par une vue imprenable sur la Meije et ses glaciers.
Nous profitons de cette ascension pour explorer les spécificités du milieu montagnard : observation de la faune et la flore alpines, découverte de leurs modes de vie en altitude.
L’après-midi, un atelier nous initie aux bases de l’orientation : lecture de carte, repérage des sommets et utilisation de la boussole.
La soirée est propice aux échanges, chacun partageant son ressenti sur les progrès accomplis et les apprentissages du séjour, dans une ambiance conviviale.
Pour ce dernier jour d’effort, nous nous lançons sur un circuit de 20 km, offrant une belle diversité de paysages et l’opportunité d’appliquer toutes les notions vues durant la semaine. Le rythme est plus soutenu, chacun ajustant son allure pour gérer son énergie tout au long du parcours.
Depuis le col du Lautaret, nous empruntons le sentier des Crevasses, qui serpente à travers un relief spectaculaire et mène à l’impressionnant Belvédère de l’Homme. La montée se poursuit jusqu’à l’Alpe du Villar d’Arène, avant d’atteindre les refuges du Plan de l’Alpe, où nous marquons une courte pause.
La descente s’engage ensuite vers la vallée de la Guisane, un itinéraire progressif qui traverse les forêts de mélèzes et plusieurs hameaux montagnards, notamment le Lauzet, avant de retrouver le GR50, qui nous ramène au col du Lautaret.
Une fois de retour à l’hôtel, nous profitons d’un moment libre avant le débriefing final du séjour. Chacun partage son expérience, les progrès réalisés et les défis relevés. Une dernière soirée ensemble vient clôturer l’aventure avant la dispersion le lendemain matin.
Un dernier petit déjeuner ensemble avant que chacun reprenne la route. L’aventure se termine, mais les apprentissages et les souvenirs restent.
Amoureux d’espaces sauvage, j’ai eu la chance dès mon plus jeune âge de pouvoir vivre mes passions liées à la nature et au sport. Des origines Briançonnaise par mon grand-père maternel et natif d’Aix en Provence, l’appel des cimes s’est très vite fait ressentir. Après un passage chez les Eclaireur Skieur du 159 RIA en 1988, je me retrouvais dans le milieu professionnel dès 23 ans. Le socle de cette voie fut très clair : le plaisir et la volonté de partager et de transmettre. J’aime guider et amener à l’autonomie des personnes en trekking, en raquettes, en trail ou « Fast-hiking ». Tout ce chemin m’a offert le privilège de découvrir, de me perdre parfois et de vivre intensément sur de nombreuses régions du globe.
Tu peux te rendre à destination en 12h de trajet.
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Chez Wildhartt, la nature est notre terrain de jeu, beau temps ou non. Pluie, neige ou vent : nos guides adaptent l’itinéraire, les activités et l’hébergement pour te garantir la meilleure expérience possible.
Sauf si la sécurité est en jeu (tempête, avalanche, crue...).
Dans ce cas exceptionnel, nous pouvons annuler une expédition, au plus tôt une semaine avant le départ.
Si cela arrive :
→ Tu peux reporter ton aventure sans frais,
→ Ou être remboursé intégralement.
Tu n’as pas besoin d’être un grand sportif ou une experte de la montagne pour te sentir à ta place. Les participant·e·s aux expéditions Wildhartt ont entre 25 et 60 ans, avec un bon équilibre entre femmes et hommes.
Ils viennent souvent seuls ou en petit groupe de deux ou trois. Beaucoup vivent en ville et ont envie de faire une pause, de retrouver du lien à la nature, ou simplement de s’offrir un moment pour eux, loin du quotidien.
La plupart pratiquent un sport de manière régulière (course à pied, randonnée, yoga…), sans être dans une logique de performance. Ils ont une bonne condition physique, mais pas nécessairement de compétences techniques. Ce qu’ils cherchent, c’est une expérience accessible, humaine, où l’on prend le temps : marcher, observer, apprendre, partager.
Si tu te reconnais dans cette envie de déconnexion et de nature, tu es au bon endroit. L’ambiance est bienveillante, le niveau s’adapte, et chacun trouve sa place.
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